Roxane Potéreau allie un physique au charme innocent à une force de caractère indéniable. Une ambivalence qui a convaincu Elsa Stoeffler de lui offrir un rôle dans son court métrage !
Au mois de mars dernier, Roxane Potéreau a eu la chance de participer au tournage du court métrage « Et tant pis si mes nuits sont blanches », réalisé par Elsa Stoeffler.
La réalisatrice avait découvert notre actrice sur le site de son agent Marie Claude Schwartz, et l’a contactée via Facebook. S’en est suivie une rencontre qui a abouti à l’obtention du rôle par Roxane.
Elsa Stoeffler a étudié aux Beaux Arts et avait auparavant réalisé un documentaire sur des jeunes vivant en périphérie de Marseille.
« Et tant pis si mes nuits sont blanches » suit un couple qui se retrouve dans une chambre d’hôtel. Il s’agit du seul lieu où il leur est possible de se voir en toute quiétude. Djarir est boxeur professionnel et est issu d’un milieu social assez modeste, tandis que le personnage de Roxane vient d’une famille assez bourgeoise.
Djarir rêve sa vie, et va donc raconter à sa petite amie la formidable histoire qu’ils auraient pu avoir tous les deux, ainsi que le braquage qu’ils auraient pu commettre afin de s’assurer une vie de tranquillité.
En amont du tournage, Elsa Stoeffler avait écrit deux longues scènes aux acteurs afin qu’ils puissent travailler la relation entre les personnages. C’est aussi grâce à beaucoup de travail d’improvisation que Roxane et son partenaire ont réussi à trouver ce qui les unissait et les raisons de leur amour.
Après plusieurs répétitions, le tournage a pu commencer, et Roxane explique qu’il s’agissait d’un très bon moment, grâce notamment à une bonne entente et une bonne connexion avec Rabah Nait Oufella.
Ce dernier a d’ailleurs été pré-sélectionné au César du meilleur Espoir masculin cette année.
Pour davantage d’informations sur Roxane et ses projets à venir, rendez vous sur sa page pro : Roxane Potéreau